Thèses en ligne de l'université 8 Mai 1945 Guelma

Etude bibliographique du potentiel des bactéries, des moisissures et des vers pour décomposer les déchets plastiques (polyéthylène téréphtalate, (PET))

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dc.contributor.author Krinah, Abderrahmen
dc.contributor.author Alloui, Mohammed- Anis
dc.date.accessioned 2022-03-02T10:20:35Z
dc.date.available 2022-03-02T10:20:35Z
dc.date.issued 2021-07
dc.identifier.uri http://dspace.univ-guelma.dz/jspui/handle/123456789/11963
dc.description.abstract D’après une étude publiée par Sciences Advances, l’activité humaine génère 8,3 milliards de tonnes de matières plastiques, dont 6,3 milliards de tonnes de déchets qui mettent souvent plusieurs décennies ou siècles pour se dégrader. Cette étude révèle qu’en 2015, 400 millions de tonnes de plastiques ont été produites dans le monde. A ce jour, 9% seulement de déchets plastiques sont recyclés, 12% incinérés, et 79% rejetés dans la nature. Dans les pays d’Afrique du nord, cette pollution s’observe en particulier à travers les sachets en plastique et les bouteilles de conditionnement de boissons (sodas, jus de fruit, eau minérale, ...). Les conséquences de la propagation de ces déchets dans la nature sont catastrophiques. Ils entraînent également une perte importante de la biodiversité. Abandonnés dans les caniveaux, ils sont la cause principale des inondations en milieu urbain après de fortes précipitations dans les villes. Enfouis dans les sols, les matières plastiques réduisent la capacité de productivité de ceux-ci et aggravent l’insécurité alimentaire. Actuellement, seulement 1 % de la proportion des matières plastiques sont biodégradables. Diverses technologies de traitement ont été développées pour faire face à ces pollutions. Ce sont principalement des procédés physiques ou chimiques. Plus récemment, les techniques de bio remédiation sont apparues et sont aujourd’hui considérées comme une réelle alternative aux techniques classiques. Toutefois, les progrès de la technologie concernant la biodégradation ne cesse d’évoluer et contribue à la résorption ces déchets. Toutes ces études sont concluantes au niveau des laboratoires. Après les essais probants, il faut industrialiser le processus. Les scientifiques travaillent maintenant sur la biodégradation à grande échelle pour industrialiser cette dégradation du plastique. Nous pouvons émettre l’hypothèse qu’il n’est qu’au début de la bio-détérioration. en_US
dc.language.iso fr en_US
dc.publisher SNV.STU en_US
dc.subject déchets plastiques, biodégradation, pollution, bactéries, moisissures, vers de cire en_US
dc.title Etude bibliographique du potentiel des bactéries, des moisissures et des vers pour décomposer les déchets plastiques (polyéthylène téréphtalate, (PET)) en_US
dc.type Other en_US


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