Thèses en ligne de l'université 8 Mai 1945 Guelma

Automédication par les anti-inflammatoires non stéroïdiens et évaluation des risques

Afficher la notice abrégée

dc.contributor.author Tebaane Keltoum, Nouaouria Amina
dc.date.accessioned 2022-03-23T14:45:58Z
dc.date.available 2022-03-23T14:45:58Z
dc.date.issued 2021-07
dc.identifier.uri http://dspace.univ-guelma.dz/jspui/handle/123456789/12256
dc.description.abstract Grâce à leurs actions antalgiques, antipyrétiques et anti-inflammatoires, les anti- inflammatoires non stéroïdiens (AINS) représentent l’une des classes médicamenteuses les plus utilisées dans le monde, que ce soit dans le cadre d’automédication ou sur prescription médicale. Malgré leur avantage thérapeutique, les anti-inflammatoires non stéroïdiens présentent de nombreux effets indésirables: digestif, rénal, cardiovasculaire, hépatique hématologique et allergique. Devant les risques iatrogéniques des AINS et leur consommation en automédication nous avons trouvé intéressant d’évaluer le niveau de connaissances des patients sur ce sujet. Ce travail fait suite à une enquête menée durant un mois auprès des pharmacies, des hôpitaux, des universités et d’autres endroits. Nos résultats ont montré que les effets indésirables les plus connus par les patients sont les complications gastro-intestinales (Ulcère de l’estomac). Les symptômes les plus fréquents motivant le recours à l’automédication étaient les douleurs des règles chez les femmes et les douleurs des dents chez les hommes. Les principales sources d’automédication étaient l’utilisation d’un médicament anciennement prescrit (à domicile) (34 fois) et l’achat avec conseil du pharmacien (29 fois). Le voltarène est l'AINS le plus utilisé en automédication. D’autre part, le mauvais accueil au niveau des établissements hospitaliers était la principale raison justifiant l’automédication avec un pourcentage de (69%). La consommation des AINS dans le cadre d’automédication et le phénomène d’automédication lui-même sont mal connus par nos candidats. Notre étude quantitative a indiqué que 48% des personnes du milieu médical et 23% hors milieu médical ne connaissent pas les risques de la consommation de ces médicaments sans avis médical. A ce jour, la pratique de l’automédication par les AINS fait l’objet d’une grande attention, tant des milieux professionnels de la santé que dans le domaine des sciences sociales, non pas parce que la pratique est nouvelle mais parce qu’elle est très encouragée.: en_US
dc.language.iso fr en_US
dc.publisher SNV.STU en_US
dc.subject Automédication, Anti-inflammatoires non stéroïdiens, Thérapie, Anti-inflammatoire, Risque en_US
dc.title Automédication par les anti-inflammatoires non stéroïdiens et évaluation des risques en_US
dc.type Other en_US


Fichier(s) constituant ce document

Ce document figure dans la(les) collection(s) suivante(s)

Afficher la notice abrégée

Chercher dans le dépôt


Recherche avancée

Parcourir

Mon compte