Résumé:
La résistance d’antibiotiques dans les infections nosocomiales se caractérise par son caractère naturel ou acquis, son mécanisme et son support génétique. Dans ce contexte, notre travail portait sur l’étude de la résistance aux antibiotiques de 15 souches bactériennes provenant de patients hospitalisés par des méthodes de biologie moléculaire (la spectrophotométrie et l’électrophorèse) qui ont montré la présence de nombreux plasmides de grande taille moléculaire pour la plupart, indiquant une présence de plasmides de résistance aux antibiotiques et des plasmides conjugatifs en concentrations différentes. L’expérience de transformation réalisée à partir des espèces d’E.coli multirésistantes dans la souche compétante E.coli DH5α a bien montré que ce transfert est inversement proportionnel à la taille moléculaire de l’insert par l’acquis du plasmide de la petite taille.
