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dc.contributor.author |
Khessib Imen, Kedjedja Hadda |
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dc.date.accessioned |
2019-02-12T14:14:34Z |
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dc.date.available |
2019-02-12T14:14:34Z |
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dc.date.issued |
2013-06 |
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dc.identifier.uri |
http://dspace.univ-guelma.dz:8080/xmlui/handle/123456789/1930 |
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dc.description.abstract |
Bien que survenant après l’établissement indiscutable de la cause microbienne de certaines maladies de l’Homme et de l’animal, la démonstration de l’origine bactérienne de maladies des végétaux n’a pas été sans dispute et controverse, l’étude des bactérioses des végétaux et des genres microbiens responsables a été intégrée dans la phytopathologie et la microbiologie. A présent, on reconnaît environ 350 bactéries provoquant des maladies sur les végétaux. Ces maladies peuvent se classer en trois grandes catégories, selon le type de symptômes qu’elles provoquent sur la plante : nécrose et flétrissement, pourriture, tumeur. A partir d’une identification classique d’isolat d’olive, un groupe de Pseudomonas ou d’Erwinia, intervient par modification du métabolisme de l’hôte à la suite de transfert de gènes pénétrer la plante sur les feuilles.
Sur le plan socio-économique, les bactérioses peuvent être des facteurs limitant de production pour certaines cultures, parfois vitales (riz, olives..) ; elles interviennent également en dépréciant la qualité de produits agricoles (réduction de végétation, tache sur feuilles et fruits). Les méthodes de lutte qui peuvent leur être opposées sont d’efficacité partielle. Elles reposent sur la prophylaxie, la lutte chimique et l’emploi de génotypes résistants. |
en_US |
dc.language.iso |
fr |
en_US |
dc.publisher |
SNV.STU |
en_US |
dc.subject |
Isolement, identification, bactéries pathogènes |
en_US |
dc.title |
Isolement et identification classique des bacteries phytopathogènes |
en_US |
dc.type |
Working Paper |
en_US |
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