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Title: L’écriture de la violence dans le roman "Surtout ne te retourne pas" de Maissa bey
Authors: Boudour Hadjer, Saoula Aicha
Keywords: écriture de la violence – violence de l’écriture – écriture de l’urgence- autobiographie- vraisemblance, fiction et fonctionnalisation- littérature et société – condition féminine - violence psychologique- misogynie et phallocratie-
Issue Date: Jul-2019
Abstract: Notre mémoire, rappelons le, est un analyse qui porte sur trois type de violence contenues dans le roman de Maissa Bey surtout ne te retourne pas. Ces trois violences apparaissent à travers une écriture romanesque à la fois poétique, lyrique, allégorique et tragique. Dans nos hypothèses de travail, nous avons proposé la violence de l’écriture dans le premier chapitre, la violence du texte dans le deuxième chapitre et enfin la violence spatiale dans le troisième chapitre. Ces hypothèses ont été confirmées. Ces trois types de violence sont coïncidents et parcourent le roman de bout en bout à travers le récit de vie de la narratrice qui est le personnage principal du nom d’Amina. Le personnage raconte dans un style allégorique, la violence psychologique parentale et sociale, et c’est ainsi qu’apparaissent deux espaces antinomiques très significatifs : le premier espace c est la maison parentale qui devient pour Amina une véritable prison ou règnent la culture misogyne et phallocratique et le deuxième espace est le camp des sinistrés du séisme de Boumerdes. Par ailleurs, le deuxième espace c’est-à-dire le camp de sinistrés est fortement symbolique : il symbolise l’errance de la narratrice, ses souffrances intérieures, ses réminiscences et la quête de soi, cet espace fissuré signifie aussi le déchirement de la personnalité de l’héroïne qui passe d’Amina à Wahida mais il signifie aussi l’amitié, la solidarité et l’empathie. 4 Au niveau référentiel, Amina renvoie d’une part à l’écrivaine elle-même qui est une jeune femme algérienne et à la femme algérienne en général dans sa recherche identitaire et dans sa quête de liberté. L’écriture dans ce cas, n’est pas uniquement esthétique, elle devient libératrice et démystificatrice.
URI: http://dspace.univ-guelma.dz:8080/xmlui/handle/123456789/4313
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