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dc.contributor.author |
Ou Yahia, KHERROUB Mohand |
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dc.date.accessioned |
2020-09-13T13:51:17Z |
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dc.date.available |
2020-09-13T13:51:17Z |
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dc.date.issued |
2015-10-28 |
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dc.identifier.uri |
http://dspace.univ-guelma.dz:8080/xmlui/handle/123456789/8689 |
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dc.description.abstract |
La brachylogie a toujours fait partie de la nature du langage humain. Sa traduction, elle, ou la traduction de l’implicite, n’a jamais été une mince affaire. Le traducteur, par delà ses compétences, ses domaines de spécialité, … est souvent pris entre l’explicitation et l’implicitation, l’explicitation de l’implicite et l’implicitation de l’explicite, sinon la fidélité et la trahison1.
Dans ce qui suit nous essayerons d’expliquer s’il est légitime, déconseillé, ou alors interdit de changer la nature du sens du texte-source : le rendre implicite alors qu’il est explicite et vice-versa. Nous commencerons par définir l’implicite, en en donnant un aperçu des types qui le sous-tendent. Nous verrons ensuite ce que dit la déontologie traductologique par rapport à cette question et, enfin, nous suggérerons une méthode de traduire par laquelle l’on pourrait surmonter cette incertitude inhérente à l’implicitation et à l’explicitation du sens. |
en_US |
dc.language.iso |
fr |
en_US |
dc.publisher |
université 8 mai 1945 guelma |
en_US |
dc.subject |
Implicitation - explicitation - l’opération traduisante |
en_US |
dc.title |
Implicitation et explicitation dans l’opération traduisante |
en_US |
dc.type |
Article |
en_US |
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