Afficher la notice abrégée
dc.contributor.author |
Amiar Salima, Touaimia Nour El Houda |
|
dc.date.accessioned |
2019-01-29T09:57:28Z |
|
dc.date.available |
2019-01-29T09:57:28Z |
|
dc.date.issued |
2017 |
|
dc.identifier.uri |
http://dspace.univ-guelma.dz:8080/xmlui/handle/123456789/853 |
|
dc.description.abstract |
La personnification et l’anthropomorphisme sont les soubassements de l’écriture particulière d’une des plus grandes écrivaines algériennes aujourd’hui, Maïssa Bey. L’espace à travers son roman Cette fille-là, prend forme et consistance au point de ne faire qu’un avec les personnages du récit. La personnification chez notre écrivaine est perceptible au niveau des, choses, des structures et également des émotions. Malika, le personnage principale, relate l’existence terne et amorphe d’une pléiade de femmes victimes d’une société expéditive, qui condamne et juge sans jauger du malaise qui gangrène la vie de ces personnages en quête de sérénité et de reconnaissance. L’espace dans Cette fille-là, devient le lieu où s’imbriquent la douleur, le regret et l’envie même d’un avenir meilleur. Chaque récit d’une femme dans le récit, renvoie à un lieu qui semble à travers l’écriture de Maïssa Bey, compromettre encore plus cette dernière. Il joue un rôle primordial dans le sens où il explique les comportements et la trame narrative. |
en_US |
dc.language.iso |
fr |
en_US |
dc.subject |
Maïssa Bey-Espace romanesque-Cette fille-là |
en_US |
dc.title |
Espace romanesque et personnification dans Cette fille-là de Maïssa Bey |
en_US |
dc.type |
Working Paper |
en_US |
Fichier(s) constituant ce document
Ce document figure dans la(les) collection(s) suivante(s)
Afficher la notice abrégée