Résumé:
L’essor technologique et industriel constaté durant ces deux derniers siècles a généré des
modes de production progressistes caractérisés par une exploitation excessive des ressources
naturelles au détriment de l’environnement. En effet, la production du cadre bâti suivant ces
modes progressistes qui adopte des modes mécaniques énergivores pour répondre aux besoins
des utilisateurs en matière de confort: des solutions et des procédés couteux et nocifs à
l’environnement.
Au sens général, la lumière n’est pas un phénomène physique neutre mais résulte d’une construction à la fois perceptive et culturelle, indispensable à la mise en valeur de l’espace architectural ce qui la rende une composante fonctionnelle et esthétique très importante en architecture.
A cet égard, l’architecture bioclimatique s’impose de plus en plus ces dernières décennies,
cette architecture, par essence écologique, cherche à assurer l’équilibre entre l’homme, le
climat et l’environnement dans une démarche passive pour une meilleure exploration des
ressources naturelle.
Dans cette perspective, notre étude vise à mettre en évidence la lumière naturelle dans la
conception et la maitrise des ambiances lumineuses notamment dans les salles de lecture qui
reçoivent d’une manière perpétuelle des multitudes de lecteurs. Nous tenterons d’évaluer les
qualités lumineuses des salles de lectures des deux salles des classes d’un lycée
de Guelma avec une démarche méthodologique s’appuyant sur les outils de la simulation
architecturale