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dc.contributor.author |
Labidi, Nabil |
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dc.date.accessioned |
2018-07-03T09:06:08Z |
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dc.date.available |
2018-07-03T09:06:08Z |
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dc.date.issued |
2011 |
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dc.identifier.uri |
http://dspace.univ-guelma.dz:8080/xmlui/handle/123456789/265 |
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dc.description.abstract |
Le renforcement et la réparation des structures en béton arme est l’une des
méthodes curatives utilisées pour la réhabilitation des structures afin d’en assurer le
service et le prolongement de la durée de vie. Avec l’apparition des polymères
renforcés de fibre (PRF), et afin d’éviter les problèmes liés à l’utilisation de l’acier
(corrosion, poids, difficulté de collage et limitation de la longueur, etc.), les éléments
de renforcement sont de plus en plus fabriqués avec ce nouveaux type de matériau.
Une fois le renforcement ou la réparation réalisé, pour le contrôle de leur qualité la
méthode standard utilisée pour tester l’adhérence entre le produit de réparation et
le béton d’origine est une méthode destructive qui consiste à mesurer la force
nécessaire pour retirer le matériau au composite de réparation du substrat en
béton. Cette méthode est longue et coûteuse. Il n’est donc pas étonnant, étant donné
la difficulté de ce processus, que les réparations ne sont pas toujours correctement
vérifiées.
L’objectif de ce travail est l’utilisation d’une méthode non destructive par
l’utilisation des ondes ultrasoniques de surface.
Le travail d’expérimentation a concerné les relations entre l’évolution des vitesses
des ondes de surface ultrasoniques, les atténuations des amplitudes des signaux
ainsi que les forces d’arrachement en rapport avec la qualité des renforcements par
quatre types de matériaux (Lamelles en Fibres de Carbone LFC, Tissus en Fibres de
Carbone TFC, Tissus en Fibres de Verre TFV et béton).
Les vitesses dans les poutres bien renforcées sont toujours supérieures aux
vitesses dans celles avec un mauvais renforcement. Les différences varient de 15 %,
30% et 50% selon le type de renforcement. On remarque aussi que les amplitudes
(ΔV) des signaux sont fortement influencées par la qualité du renforcement. La
diminution du signal reçu, entre un bon et un mauvais renforcement varie de 420%
à 80%. Enfin les résultats montrent aussi que les vitesses des ultrasons et les forces
d’arrachement pour les poutres bien renforcés évoluent dans le même sens. Les
relations dans les poutres mal renforcées présentent des relations beaucoup plus
dispersées. |
en_US |
dc.language.iso |
fr |
en_US |
dc.subject |
béton, composites, renforcement, arrachement, ultrasons. |
en_US |
dc.title |
Contribution au diagnostic des renforcements minces des bétons par les ultrasons |
en_US |
dc.type |
Thesis |
en_US |
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