Résumé:
Le thème de la valorisation des tissus anciens est devenu un des axes porteurs du débat sur
la ville, en focalisant uniquement sur l’aspect morphologique. En plus que les actions
classiques d’intervention sur les tissus urbains ont montré leurs limites. Un nouvel outil s’est
affirmé ses vingt dernières années dans les politiques publiques. En plus de l’action classique,
la priorité aujourd’hui est d’agir globalement sur les facteurs de rupture sociale, économique,
sociétale et ainsi renouveler la ville. L’heure est au « construire la ville sur la ville ».
Cette recherche porte sur l’ancienne caserne militaire française de la ville de Guelma. Un
quartier qui est victime du non durabilité sur le plan écologique (après l’analyse du site). Le
raison derrière son réduction, et souffrance de congestion, à cause de pollution, et un cadre
bâti en continuelle dégradation.
Donc l’objectif d mémoire étant d’abord, de mettre en exergue cette évolution dans les
modes de penser et d’agir sur les anciennes casernes. Cette démarche qui a creusé, en effet,
une empreinte écologique durable du renouvèlement urbain. A travers la fondation d’une
stratégie d’intervention qui définit le cadre du projet par une opération de réhabilitation
écologique du bâti existants et une récupération des poches vide du site pour arriver à un
quartier durable.