Résumé:
A Guelma et comme toute les villes Algérienne, la croissance démographique et la crise de logement
s’est opposée à la qualité des logements, et a mené à un habitat construit dans la précipitation qui ne
répond pas aux besoins des habitants et ne contribue pas à la protection de l’environnement.
L’introduction de la notion de l’habitat écologique et durable doit être une priorité à travers des projets
et des opérations urbaines.
Démarrant d’un problème d’une base de vie précaire au sud-ouest de la ville qui est encore habitée après
vingt ans de la fin du chantier. La solution est donc ce qu’on appelle « faire la ville sur la ville », pour
en faire un habitat approprié, prenant comme exemple le renouvellement du quartier de la Muette : Cette
opération est soumise à des exigences du développement durable et l’architecture écologique ; le Ksar
Tafilelt à Ghardaïa est un projet exemplaire dans ce contexte. Pour répondre à ces exigences la démarche
HQE représente une bonne méthodologie ; entreprise comme démarche de base et de qualité dans de
nombreux projets à travers le monde, tel que le parc du chemin de l’île ; choisissant au moins 6 cibles
pour leur répondre selon les besoins du site naturel et urbain en prenant compte les besoins des habitants.