Thèses en ligne de l'université 8 Mai 1945 Guelma

Exil et déracinement identitaire dans « Je ne parle pas la langue de mon père » de Leïla Sebbar

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dc.contributor.author Touil Imene, Mouassa Ilham
dc.date.accessioned 2019-02-12T08:38:30Z
dc.date.available 2019-02-12T08:38:30Z
dc.date.issued 2017
dc.identifier.uri http://dspace.univ-guelma.dz:8080/xmlui/handle/123456789/1876
dc.description.abstract Le présent travail mené dans le cadre d’un mémoire de Master propose une analyse sociocritique et psychocritique de la situation de l’écrivaine. Leïla Sebbar vit très douloureusement la question de l’exil et de la double appartenance culturelle et linguistique. Elle se trouve tiraillée entre la langue française, la langue de sa mère et choisie par son père, et la langue arabe, occultée par ce dernier. Chose qu’elle n’a pas pu digérer et aspire à renouer avec la culture et la langue de sa terre natale et de ses aïeux. C’est pourquoi, elle fait une sorte de flux et reflux spatiotemporel entre le présent et le passé, entre la France et les souvenirs algériens, le point à partir duquel allait s’articuler sa réappropriation culturelle et linguistique des origines, allant à la découverte de l’autre partie de son identité perdue en elle, que le père en a privé. Afin d’appréhender son parcours inscrit dans son ouvrage Je ne parle pas la langue de mon père, nous nous proposons dans ce mémoire d’analyser son discours afin d’en constater le rapport entretenu avec les deux langues qui la fondent : l’arabe et le français. en_US
dc.language.iso fr en_US
dc.subject langue – identité – interculturel – exil – psychocritique – sociocritique en_US
dc.title Exil et déracinement identitaire dans « Je ne parle pas la langue de mon père » de Leïla Sebbar en_US
dc.type Working Paper en_US


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