Résumé:
Ce mémoire s’intéresse à la représentation de l’espace dans le roman Un homme, ça ne pleure
pas de Faïza Guène. En mobilisant les outils de la géocritique et les théories de l’espace
littéraire, ce travail explore comment les différents espaces — familiaux, urbains, identitaires
et mémoriels — participent à la construction narrative et symbolique du roman. L’analyse se
structure en trois chapitres : le premier propose une approche théorique de l’espace en
littérature, le deuxième étudie les types d’espaces représentés dans le récit (espaces clos,
ouverts, nocturnes et diurnes), et le troisième se concentre sur les représentations spatiales à
travers les tensions familiales et les dynamiques urbaines. Il en ressort que l’espace, chez Faïza
Guène, est un véritable vecteur de sens, révélateur de conflits et porteur de mémoire