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| dc.contributor.author |
GOUAIDIA, Kahina |
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| dc.date.accessioned |
2025-11-03T09:45:53Z |
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| dc.date.available |
2025-11-03T09:45:53Z |
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| dc.date.issued |
2025-06 |
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| dc.identifier.uri |
https://dspace.univ-guelma.dz/jspui/handle/123456789/18585 |
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| dc.description.abstract |
Dans La Femme aux pieds nus, Scholastique Mukasonga évoque avec une infinie tendresse et une
profonde émotion sa mère, Stefania, disparue lors du génocide des Tutsi en 1994. À travers une écriture
fragmentaire qui réveille les souvenirs, restitue des scènes du quotidien et met en valeur certaines
traditions, l’autrice fait revivre cette femme discrète et vaillante, figure de mémoire et de résistance.
Exilée par le régime hutu dans la région du Bugesera, Stefania s’évertue à faire perdurer les valeurs, les
rites et les pratiques constitutives de l’identité tutsi à travers des gestes du quotidien : nourrir, protéger,
éduquer, enterrer les morts avec dignité. Son corps maternel devient alors un vecteur de transmission,
un relais d’histoire dans un monde en voie de disparition.
Plus qu’un récit personnel, Mukasonga convoque la mémoire collective de toutes les femmes tutsi, dont
le travail invisible a représenté un acte de survie pour leur peuple. L’ouvrage devient ainsi une œuvre de
mémoire et de réhabilitation, où l’écriture poursuit la vie de celles |
en_US |
| dc.language.iso |
fr |
en_US |
| dc.subject |
Mémoire – Résistance – Corps féminin – Transmission – Génocide des Tutsi – Maternité –Exil |
en_US |
| dc.title |
Le corps féminin comme lieu de mémoire et de transmission dans La Femme aux pieds nus de Scholastique Mukasonga : |
en_US |
| dc.title.alternative |
Une approche historique du génocide rwandais |
en_US |
| dc.type |
Working Paper |
en_US |
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