Afficher la notice abrégée
dc.contributor.author |
FARTAS, DOUNYAZAD |
|
dc.date.accessioned |
2022-02-02T12:07:12Z |
|
dc.date.available |
2022-02-02T12:07:12Z |
|
dc.date.issued |
2021-07 |
|
dc.identifier.uri |
http://dspace.univ-guelma.dz/jspui/handle/123456789/11571 |
|
dc.description.abstract |
La qualité de l'air que nous respirons à l'intérieur des bâtiments est une
préoccupation de santé publique qui prend de plus en plus d’importance.
Nous passons en moyenne 85 % de notre temps dans des environnements clos,
notamment dans des locaux destinés à recevoir du public, dans lesquels nous pouvons être
exposés à de nombreux polluants (polluants chimiques, bio contaminants et polluants
physiques). Les sources potentielles de cette pollution de l’air intérieur dans les bâtiments sont
diverses: air extérieur, appareils à combustion, matériaux de construction et d’ameublement,
produits d’entretien, activités humaines…
La qualité de l’air que nous respirons peut avoir des effets sur la santé et le bien-être, depuis la
Simple gêne (olfactive, somnolence, irritation des yeux et de la peau, etc.) jusqu’à l’apparition
ou l’aggravation de pathologies aiguës ou chroniques : allergies respiratoires, asthme, cancer,
ou intoxication mortelle etc. À contrario, une bonne qualité de l’air à l’intérieur d’un bâtiment
a un effet positif démontré sur le taux d’absentéisme et le bien-être des occupants
Mots-clés : Ventilation, qualité de l’air intérieur, qualité des environnements intérieurs, |
en_US |
dc.language.iso |
fr |
en_US |
dc.publisher |
Université 8Mai 1945 – Guelma |
en_US |
dc.subject |
Ventilation, qualité de l’air intérieur, qualité des environnements intérieurs |
en_US |
dc.title |
L’AIR D’AFFAIRE |
en_US |
dc.type |
Working Paper |
en_US |
Fichier(s) constituant ce document
Ce document figure dans la(les) collection(s) suivante(s)
Afficher la notice abrégée