Résumé:
Le croisement de toutes ces notions (Confort écologique, habitat en milieux sensibles) cherche une
approche scientifique pour savoir comment s’investir dans l’amélioration et le bien-être du cadre de
vie des habitants des milieux sensibles. C’est dans ce contexte que s’inscrivent les mesures
essentielles de cette problématique qui ne sont autres que les bases constructives de la place du confort
écologique. L’objectif recherché de part cet essai serait d’atteindre les actions qui s’engagent pour
être à la hauteur de l’ambition de mettre à nu toutes les contrariétés du contexte sensible. En cette
raison la dimension sanitaire comme mesure récurrente pour corriger les effets de tous les risques qui
dégradent l’habitat et le cadre de vie de ses occupants. En milieux sensibles, des zones d’habitat
réglementaire et illicite demandent des solutions immédiates pour leur permettre de réduire les effets
du risque qui les menacent et de prendre à la fois, l’exigence de protection et de prévention et à la
préservation des enjeux écologiques.
Il faut dire que parallèlement au confort domestique (acoustique, ventilation, lumière et isolation)
l’augmentation du risque lié au catastrophes naturelles dans les sites sensibles et surtout au
changement climatique. Faute d’analyses spécifiques réalisées au préalable, amène à identifie les
aléas révélateurs de la vulnérabilité des zones d’habitat et leur manque de confort sanitaire.
L’évaluation, d’après toutes les études réalisées a été inopérante compte tenu du renouvellement
itératif de ces évènements catastrophiques.
