Résumé:
Le bilan environnemental enregistré durant ces dernières décennies signale un
constat alarmant : dégradation de l’environnement, épuisement des ressources
naturelles, pollution ascendante, etc. Des conséquences néfastes à l’échelle
planétaire telle que le réchauffement climatique et les risques environnementaux
ont amené l’humanité à s’inquiéter de plus en plus sur l’avenir environnemental
de notre planète. Ces enjeux portent sur une question essentielle :« l’énergie
renouvelables ».
Dans une optique plus écologique, les alternatives de durabilité nécessitent
d’une part, la réduction de la consommation énergétique et à profiter, d’autre
part, des énergies primaires dites renouvelables telles que : l’énergie solaire,
éolienne, hydraulique, la géothermie, la biomasse, etc. Parmi ces ressources
énergétiques dites propres, l’énergie solaire est disponible à tous les niveaux du
globe terrestre.
Malgré qu’elle soit abondante en Algérie, le secteur de bâtiment n’a pas
convenablement exploité cette ressource dite écologique. À travers cette étude,
nous essayerons de mettre en évidence l’importance et l’efficacité de l’énergie
solaire entant qu’alternative pertinente à intégrer dans le processus de
conception architecturale. Nous tenterons d’examiner ce choix énergétique avec
une application sur un projet de palais des congrès à l’échelle régionale à
Guelma en s’appuyant sur la notion de l’architecture solaire passive comme
outils méthodologique d’évaluation et d’estimation, tout en bénéficiant des
rayons solaires et optimisant la chaleur.