Assurer une continuité visuelle entre le bâti et l’environnement en partant de l’éco-habitat collectif à tendance vernaculaire.

Abstract

En Algérie, et Guelma spécialement les attaques à l’écosystème sont plus en plus propagées surtout au niveau d’habitat, induit par les discontinuités urbaines, le manque de visibilité du cadre bâti et la monotonie architecturale des cités résidentielles. Et ce problème a causé une grande rupture entre le bâti et l’environnement qui l’entoure. Ce projet de fin d’étude s’intéresse de montrer les meilleurs solutions pour réduire l’impact de ce problème sur l’environnement en adaptant l’architecture écologique avec une représentation tendancielle vernaculaire qui permet de construire des habitats moderne et au même temps bien respecter les caractéristique de son contexte (climat, paysage, site) et garantir le confort des habitants. Les cités résidentielles collectives sont les plus concernées, donc on essaie de les reconvertir vers des éco quartiers comme notre cas d’étude, la cité 8 mars (est Guelma). Après cela, on analyse des exemples internationaux et nationaux pour mieux comprendre le caractère des maisons écologiques et bien l’appliquer sur notre site d’étude. Mots clés : habitat, l’architecture écologique, vernaculaire, le confort, éco quartiers, maison écologiques.