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dc.contributor.authorBehloul Fatima Zahra, Benabbes Somia-
dc.date.accessioned2019-02-18T20:05:06Z-
dc.date.available2019-02-18T20:05:06Z-
dc.date.issued2014-06-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-guelma.dz:8080/xmlui/handle/123456789/2265-
dc.description.abstractGénéralement il est admis qu’une discussion de 60min au téléphone portable est suffisante pour modifier la structure microbienne de l’oreille. En effet et suite à notre expérience en des deux souches isolés chez une adulte volontaire n’a pas été réalisée après la communication. L’apparition de deux autres espèces, pathologie ont causés une otite qui a fait souffrir la volontaire pendant quelque jours. Nous permet que les radiations émient par le téléphone cellulaire sont capable de marquer des légères modifications de la flore cutanée des utilisateurs. Sous un autre angle des bactéries isolées de l’air ambiant que nous supposons « des souches vierges » ont été mis en culture entre deux portables en communication pendant 60 min. là aussi ces bactéries ont développé une résistance aux antibiotiques ; ce qui prouve encore une fois que les radiations émissent lors des communications téléphoniques par les cellulaires sont suffisants de marquer des mutations qui phénotypiquement s’expriment par une développement de la résistance aux antibiotiques usuels ;soit par modification de la structure microbienne du milieu exposé.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherSNV.STUen_US
dc.subjectradiation , cellulaire , bactériesen_US
dc.titleContribution a l'étude de l’effet de radiation des radiations téléphoniques des cellulaires sur les bactériesen_US
dc.typeWorking Paperen_US
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