Endométrite bovine et son impact sur la production laitière

Abstract

Les définitions claires et précises de l’endométrite, il nous a permis d’évaluer cette infection dont il déclare : inflammation utérine endométrite (endométrite clinique et subclinique). Étant une maladie localisée à l’utérus, les effets négatifs de l’endométrite touchent principalement les fonctions reproductrices subséquentes de la vache. Cette étude nous a permis d’identifier les causes et les symptômes et le diagnostic de la maladie d’endométrite des vaches laitières. Etudier les dommages sanitaires et économiques causés par cette maladie à la faveur de la production laitière. La présence d’une endométrite associée à une réduction de taux de gestation de 27% à 30 jours post-partum. Dans la même étude, le nombre d’inséminations non fécondantes augmente, c'est à dire le nombre des sailler fécondant diminué à 10% chez les vaches atteintes par rapport aux vaches saines. L’intervalle vêlage –insémination est allongé de 03 jours, et la moyenne de l’intervalle vêlage-insémination fécondante est de 32 jours supérieurs à celui des vaches indemnes de cette affection. Chez les vaches atteintes d’endométrite clinique, le taux de gestation est moins élevé (d’environ 20%), et la moyenne des intervalles vêlage –insémination artificielle (IV-IAF) sont allongés d’environ 30 jours, en cas d’atteinte par une endométrite sévère, la carrière reproductrice de la vache inséminée est alors réservée . Chez les vaches atteintes d’endométrite sub-clinique (IV-IAF) est supérieur à 39 jours, le taux des vaches gestantes à 300 jours après post-partum est 03 fois plus important dans ces cas.